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ANNA LIVIA PLURABELLE STATUE

Publié le par Jean Helfer

ANNA LIVIA PLURABELLE STATUE
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ANNA LIVIA PLURABELLE STATUE

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ANNA LIVIA BRIDGE

Publié le par Jean Helfer

ANNA LIVIA BRIDGE
ANNA LIVIA BRIDGE

Anna Livia Bridge - the name - officially came into being on Bloomsday, June 16th 1982, the centenary of the birth of James Joyce. Water - wave tossed and briney - carried Joyce away from Ireland on his self-imposed journey of exile and it was Anna Livia’s soft, brackish waters which carried him back. His riverside musings as a young man, here on the banks of the Liffey at Chapelizod, would one day flow from his pen in the character of Anna Livia Plurabelle. Anna Livia is a spirit, a goddess of rebirth and renewal, her long flowing hair is the river as it tumbles down from the heathery boglands of the Wicklow Hills, gathers life through the plainlands of Kildare and flows with serene maturity through Chapelizod before entering the sea at Dublin. Joyce reached deep into the annals of Irish history to source his matriarchal heroine who is older than Dublin itself. Variants of her name from the Irish Abhainn Liphthe to the prosaic Avenlif, exist in records from early in the first millennium.

‘O tell me all about Anna Livia!
I want to hear all about Anna Livia.’
(Finnegans Wake 196.1-216.5)

Fate entwined Joyce with the beautiful and melodic Anna Livia for she is special among fellow river spirits: not weary as the bearded Old Father Thames, nor malevolent as Boiuna of the Amazon or voiceless like the Seine once she departs from the sacred pool of the goddess Sequana. More worldly concerns brought about Joyce’s visits to Chapelizod, which feature not only in Finnegans Wake but also in Dubliners. His father had business connections with the Chapelizod Distillery - once a thriving concern, its downfall heralding the bankruptcy of Joyce senior. This chapter of Joyce’s story ends where it began: with the river and the Anna Livia Bridge, re-christened by Dublin City Council in celebration of Joyce and Chapelizod.

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Le Pantalon : Histoire et Origine

Publié le par Jean Helfer

Le Pantalon : Histoire et Origine
Le pantalon pour homme

Le pantalon tire son origine des chausses portées par les hommes au XVe siècle. Les chausses étaient faciles à fabriquer et à fixer à un pourpoint avec des lacets. Mais peu à peu, les chausses furent jointes, d’abord dans le dos, puis sur le devant, tout en laissant une large ouverture pour les besoins sanitaires. Initialement, les pourpoints descendaient presque jusqu’aux genoux, couvrant le bassin. Mais avec l’évolution de la mode vestimentaire, le pourpoint devint plus court, et il devint nécessaire pour les hommes de couvrir leurs parties génitales avec une braguette, qui fut ajoutée au pantalon à la fin du XVIe siècle.

En 1788, au cours de la Révolution française, les porteurs de pantalons, travailleurs issus du peuple, se sont distingués sous le nom de Sans-culottes, par opposition aux porteurs de la culotte, aristocrates et bourgeois. C’est devenu une tendance politique révolutionnaire.

Mais ce n’est qu’à partir de 1830 que le pantalon fut véritablement accepté et porté couramment comme vêtement de ville. Il portait alors le sobriquet « tuyau de poêle ».

Ce style fut introduit en Angleterre au début du XIXe siècle, probablement par Beau Brummell, et devint le bas le plus porté par les hommes au milieu du siècle.

Les marins ont pu jouer un rôle dans la diffusion du pantalon à travers le monde. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les marins portaient des pantalons larges appelés galligaskins. Les marins ont également été les premiers à porter des jeans. Ces derniers devinrent plus populaire à la fin du XIXe siècle dans l’Ouest américain, en raison de leur résistance et de leur longévité.

Le pantalon pour femme

C’est en Perse que l’on rencontre les premiers pantalons féminins. En Europe, le pantalon pour femme est devenu courant au cours du XXe siècle.

En France, durant la Révolution, un décret interdit de porter un habit du sexe opposé. Le Consulat autorisa les femmes à porter le pantalon, sous réserve d’autorisation préfectorale. Cependant, les femmes n’en portèrent pas pendant longtemps, suivant l’assertion populaire selon laquelle une fille qui porte des pantalons est une fille qui se conduit mal, car une femme honnête a les genoux sales. La première femme autorisée par arrêt préfectoral à porter un pantalon fut une femme à barbe en 1904.

En Angleterre, les femmes travaillant dans les mines de charbon de Wigan furent parmi les premières à porter des pantalons pour accomplir leur travail dangereux. Elles portaient une jupe au-dessus du pantalon, mais cette jupe était enroulée jusqu’à la taille pour ne pas gêner leurs mouvements. Leur tenue choqua lasociété victorienne de l’époque.

Dans l’Ouest américain, au XIXe siècle, les femmes travaillant dans les ranchs portaient le pantalon pour chevaucher.

Au début du XXe siècle, des aviatrices et des femmes actives se sont mises à le porter. Par ailleurs, certaines actrices, commeMarlène Dietrich et Katharine Hepburn, ont souvent été photographiées en pantalon dans les années 1930, contribuant ainsi à le démocratiser pour les femmes.

Durant la Seconde Guerre mondiale, les femmes travaillant dans les usines ou exécutant d’autres « travaux pour hommes », ont commencé à porter les vêtements civils de leurs maris à la guerre, y compris leurs pantalons. Dans l’après-guerre, le pantalon est devenu une tenue de détente acceptable pour lejardinage, la plage, et d’autres activés de loisirs.

Plus tard, dans les années 1960, André Courrèges a présenté le pantalon pour femmes comme vêtement de mode, menant à l’ère des jeans chics et des pantalons de tailleur. Par la suite, l’interdit social pour les femmes de porter un pantalon dans les écoles, sur le lieu de travail et dans les restaurants chics, a peu à peu disparu.

(Wikipédia)

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Sylvia Beach in Greta Shiller's Documentary "Paris Was A Woman"

Publié le par Jean Helfer

Sylvia Beach in  Greta Shiller's Documentary "Paris Was A Woman"

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Serge Gainsbourg lit James Joyce

Publié le par Jean Helfer

Serge Gainsbourg lit James Joyce

Extrait de l'émission SERGE GAINSBOURG Ah vous écrivez - 15/08/1980

Bernard PIVOT, l'oeil brillant, interviewe Serge GAINSBOURG à propos de son premier livre publié chez Gallimard, "Evguenie SOKOLOV", qu'il qualifie de pamphlet à propos de la peinture moderne et de tous les arrivismes.

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SYLVIA BEACH & PAUL VALERY

Publié le par Jean Helfer

SYLVIA BEACH & PAUL VALERY
SYLVIA BEACH & PAUL VALERY
SYLVIA BEACH & PAUL VALERY
SYLVIA BEACH & PAUL VALERY
SYLVIA BEACH & PAUL VALERY
ADRIENNE MONNIER PAUL VALERY ET SYLVIA BEACH AU DEJEUNER D'ULYSSE

ADRIENNE MONNIER PAUL VALERY ET SYLVIA BEACH AU DEJEUNER D'ULYSSE

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Paris 1900, Par Bryher (Traduit Par Sylvia Beach at Adrienne Monnier)

Publié le par Jean Helfer

 Paris 1900, Par Bryher (Traduit Par Sylvia Beach at Adrienne Monnier)

BRYHER

Paris 1900

Première parution en 1938

Trad. de l'anglais par Sylvia Beach et Adrienne Monnier

Édition de «la Maison des Amis des Livres»

Collection Littérature générale, Mercure de France

Parution : 01-01-1960

In “Paris 1900,” a narrative of her first encounter with Paris, Bryher the intellectual, the woman who also aspired to write the history of an epoch, not only puts into focus the wholly personal process which leads her from isolated England to the European continent and allows her to access an identity that is geographically enlarged and culturally more composite and complex, but in addition locates in a precise biographical and historical moment the birth of the modern. In this birth, she writes, the desire of the individual and of the collective have collaborated in different ways. It is the heavy nineteenth-century forms that cause the rise in the desire for the new in the public of adult spectators who crowd the rooms of the Grand Universal Exposition of 1900, a desire that little Annie Winifred seems to perceive better than any of the adults: And perhaps because all sincerity of emotion was repressed, the age, as it felt itself dying, redoubled outward forms and put emphasis of life upon ownership of thousands of small possessions. It was at the Paris exhibition that modern art was born. The unconscious mind of thousands must have begun to imagine blank spaces and straight lines, while the eyes stared at cabinets full of miniatures, toy clocks, jeweled thimble cases, and Fragonard paintings reproduced in beads upon tiny bags.

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BOOKS ABOUT SYLVIA BEACH

Publié le par Jean Helfer

BOOKS ABOUT SYLVIA BEACH
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"A SYLVIA BEACH" POEME D'ADRIENNE MONNIER

Publié le par Jean Helfer

"A SYLVIA BEACH" POEME D'ADRIENNE MONNIER

A Sylvia Beach


Je te salue, ma Sœur née par-delà les mers !
Voici que mon étoile a retrouvé la tienne,
Non pas fondue au feu du soleil primitif,
Mais vive, exacte et neuve en sa grâce étrangère,
Prodigue des trésors amassés en son cours.

Je chantais solitaire, attentive aux promesses
Que notre Mère écrit dans le regard des hommes,
L'éclat des diamants et l'orient des perles.
Je cachais en mon sein, comme un oiseau fragile,
Le bel espoir craintif qui se nourrit des miels.
Je vouais aux pudeurs, linges blancs et croisés,
La naissante pensée qu'on baptise de pleurs.
Je me sauve, à présent, oh ! ma Sœur, par tes soins,
De ces tourments, de ces regrets, de ces faiblesses !
La force me revient, et si j'aime la Nuit,
Si j'interroge encor ses dernières terreurs,
C'est pour mûrir la paix d'un jour définitif.

Déjà, Midi nous voit, l'une en face de l'autre,
Debout devant nos seuils, au niveau de la rue,
Doux fleuve de soleil qui porte sur ses bords
Nos librairies.
Midi lève nos mains, déliées du service,
Pour l'appel des repas, pour le temps des silences,
Et fait étinceler, sous le jeu de leur signe,
La flamme encor cachée au cœur de nos pays.

A Sylvia Beach


Je te salue, ma Sœur née par-delà les mers !
Voici que mon étoile a retrouvé la tienne,
Non pas fondue au feu du soleil primitif,
Mais vive, exacte et neuve en sa grâce étrangère,
Prodigue des trésors amassés en son cours.

Je chantais solitaire, attentive aux promesses
Que notre Mère écrit dans le regard des hommes,
L'éclat des diamants et l'orient des perles.
Je cachais en mon sein, comme un oiseau fragile,
Le bel espoir craintif qui se nourrit des miels.
Je vouais aux pudeurs, linges blancs et croisés,
La naissante pensée qu'on baptise de pleurs.
Je me sauve, à présent, oh ! ma Sœur, par tes soins,
De ces tourments, de ces regrets, de ces faiblesses !
La force me revient, et si j'aime la Nuit,
Si j'interroge encor ses dernières terreurs,
C'est pour mûrir la paix d'un jour définitif.

Déjà, Midi nous voit, l'une en face de l'autre,
Debout devant nos seuils, au niveau de la rue,
Doux fleuve de soleil qui porte sur ses bords
Nos librairies.
Midi lève nos mains, déliées du service,
Pour l'appel des repas, pour le temps des silences,
Et fait étinceler, sous le jeu de leur signe,
La flamme encor cachée au cœur de nos pays.

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JAMES JOYCE & EZRA POUND

Publié le par Jean Helfer

JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND

Good Friday [29 March] 1918, 12:07 a.m.

Dear Joyce: As I wrote this a.m. or yesterday, we have got your first installment into print. 30 copies have reached me here. I suppose we’ll be suppressed. The Egoist printers wont set up the stuff at all. I dont mind suppression for the first chapter. Its worth it.

Section 4. has excellent things in it; but you overdo the matter. Leave the stool to Geo. Robey. He has been doing “down where the asparagus grows, for some time.

I think certain things simply bad writing, in this section. Bad because you waste the violence. You use a stronger word than you need, and this is bad art, just as any needless superlative is bad art.

The contrast between Blooms interior poetry and his outward surroundings is excellent, but it will come up without such detailed treatment of the dropping feces.

Quinn is already in a rage over my reference to the late Doctor C. in the March number. Quinn, by the way, has been in hospital for a major operation, and we cant have him worried unnecessarily.

Perhaps an unexpurgated text of you can be printed in a greek or bulgarian translation later.

I’m not even sure “urine” is necessary in the opening page. The idea could be conveyed just as definitely.

In the thing as it stands you will lose effectiveness. The excrements will prevent people from noticing the quality of things contrasted.

At any rate the thing is risk enough without the full details of the morning deposition.

If we are suppressed too often we’ll be suppressed finally and for all, to the damn’d stoppage of all our stipends. AND I cant have our august editress jailed, NOT at any rate for a passage which I do not think written with utter maestria.

Hence these tears.

Yrs.
Ezra Pound

JAMES JOYCE & EZRA POUND
JAMES JOYCE & EZRA POUND

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